
Allocution du journaliste Najib Salmi, lors de l’ouverture des travaux du séminaire de formation de la fédération Atlantique des agences de Presse Africaines, sous le thème ‘’Maîtrise des techniques pour la bonne pratique du journalisme sportif’’.23052022-Rabat
Un séminaire de formation sur la maitrise des techniques pour la bonne pratique du journalisme sportif, a démarré, lundi à Rabat, capitale du Maroc. L’activité organisée par la Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaines (FAAPA), se déroule sur 5 jours et réunit une vingtaine de journalistes et chefs de Desk sport. Lors du mot d’ouverture qu’il a prononcé pour l’occasion, au nom du Président de la FAAPA, le secrétaire général, M. Mohamed Hanis a rappelé que ce séminaire, le premier du genre, s’inscrit dans le cadre du plan d’action de la FAAPA et vise à renforcer les capacités des journalistes « pour un meilleur traitement des questions relatives à la couverture des grands événements sportifs nationaux, régionaux et internationaux, promouvoir les performances et la productivité des journalistes sportifs ».
M. Hanis a en outre souligné que le séminaire devrait permettre de « favoriser les échanges d’expériences et consolider les capacités des journalistes à produire des contenus innovants en matière d’information sportive, tout en respectant les principes de l’éthique professionnelle et de la déontologie journalistique ».
Pour finir, M. Hanis a exprimé le souhait que les travaux de ce séminaire aboutissent à la mise en place d’un réseau des journalistes sportifs de la FAAPA à l’instar des autres plateformes professionnelles affiliées à l’institution panafricaine.
Au cours des cinq prochains jours, dix-sept thématiques seront abordées. Elles sont reparties en trois modules : techniques et pratiques du journalisme sportif, le journalisme sportif à l’ère du digital et sport et enjeux de développement socio-économique.
A noter que la session de la matinée du lundi 23 mai a été marquée par les interventions des experts, M. Najib Salmi (Maroc), Mamadou Sali Diallo (Sénégal) et M. Magloire Gnaé Oulidehi (Côte d’Ivoire), qui ont animé le premier atelier. Tous ont insisté sur la nécessité de recouper l’information et d’aller au-delà du factuel.
AMI