La Mauritanie s’est classée 147-ème au niveau mondial et avant-dernière dans le monde arabe dans l’« Indice des connaissances 2021 », tandis que la Suisse s’est classée au premier rang mondial pour la cinquième année consécutive, suivie de la Suède, puis des États-Unis, de la Finlande et des Pays-Bas. L’indicateur est émis par le Programme des Nations Unies pour le développement à travers le « Knowledge Project ». L’indice pour l’année 2021 au niveau mondial a montré que le nombre de pays participants est passé à 154 pays, contre 138 pays dans l’édition de l’année dernière de l’indice.
Le classement des pays arabes sur l’indice dans l’édition de cette année est le suivant : les Émirats arabes unis se sont classés au 11e rang mondial, puis le Qatar au 38e rang, l’Arabie saoudite au 40e et le Koweït au 48e. Sultanat d’Oman (52), Égypte (53), Bahreïn (55), Tunisie (83), Liban (92), Maroc (101), Jordanie (103), Algérie (111) et Irak Le / 137 /, le / 145 / Soudan, / Mauritanie / / 147 / /, et Yémen / / 150 /.
L’indice a été lancé au Forum des Nations Unies à « Expo 2020 Dubaï » L’indice des connaissances pour l’année 2021 a connu une participation régionale et mondiale élargie, basée sur l’intérêt croissant pour la connaissance en tant que catalyseur majeur de la croissance économique et sociale.
L’indice montre comment la connaissance est devenue le facteur le plus unique, pour aider les pays du monde à atteindre la prospérité et à se hisser au premier plan en mettant l’accent sur la durabilité. Dans ce contexte, la série « Global Knowledge Index » est devenue un indicateur important et rigoureux pour évaluer les sociétés et l’étendue de leur croissance basée sur la connaissance.
L’indice a révélé que certains pays arabes progressent dans certains sous-indicateurs qui sont importants, car ce sont des indicateurs qui stimulent la connaissance, l’innovation et l’éducation, et que nous les voyons également avancer à un rythme confiant sur la voie du développement.
D’un autre côté, nous voyons que les pays qui traversent des crises violentes ont encore un long chemin à parcourir et de grands défis sur la voie d’une société de la connaissance.
anbaainfo et adrar